La comédienne s’est exprimée dans la rubrique « Fenêtre sur corps » du Magazine L’Equipe, en kiosques samedi 19 novembre, où elle raconte notamment comment elle réussit à tourner les scènes de nu avec naturel.

Assumer son corps, ses formes, sa féminité… Pour la belle Audrey Fleurot, cela a pris du temps. Dans la rubrique « Fenêtre sur corps » du Magazine L’Equipe à paraître samedi 19 novembre, l’actrice de 39 ans raconte qu’il y a encore dix ans, elle se sentait « encombrée » par son corps. « Là, je suis plus sereine » confie-t-elle. Mais, même en ayant plus confiance en elle, elle avoue que les scènes de nu restent toujours une épreuve. « Aucune comédienne n’est à l’aise avec ça » raconte-t-elle.

Son salut ? « Je suis extrêmement myope, explique-t-elle. Quand j’enlève mes lentilles, je ne vois plus personne. Même pas mon partenaire ! Il n’y a plus de perchman, plus de cadreur, plus de chef opérateur, plus de réalisateur… Cela me crée une bulle très confortable. » Ainsi isolée du reste de l’équipe, la comédienne a la sensation d’être dans un cadre presque intimiste, ce qui lui permet d’être plus à l’aise. Une drôle de méthode, qui a pourtant fait ses preuves jusqu’ici. « Je refuse de me faire opérer pour pouvoir garder cet avantage » admet-elle.

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Audrey Fleurot est actuellement en plein tournage de la sixième saison d’Engrenages, dans laquelle elle campe l’avocate Joséphine Karlsson, au caractère bien trempé et à la réputation sulfureuse. Entre deux plateaux de tournage, la comédienne essaie de ménager un peu de temps libre pour son fils, Lou, âgé d’à peine un an, fruit de sa relation avec l’acteur-réalisateur Djibril Glissant, qui partage sa vie depuis 2014.