Chaque matin, les 35 guépards de la réserve d’Otjiwarongo, en Namibie, attendent avec impatience le moment de la course d’entraînement, avec des pointes à près de 100 km/h à courir derrière un leurre. L’occasion pour le félin, l’animal le plus rapide du monde, de se dégourdir les pattes. Ces guépards sont en activité, accueillis dès leur plus jeune dans un orphelinat en Namibie.”Ces animaux ne peuvent jamais retourner à l’état sauvage”Ces guépards ont perdu leurs mères avant de pouvoir être autonomes. Ils sont incapables de survivre dans la vie sauvage. “Quand ils sont recueillis à moins de six semaines ou de deux mois, ces animaux ne peuvent jamais retourner à l’état sauvage. Pour les autres, on les remet dans la nature dès que possible“, explique Laurie Marker, directrice de la Cheetah Conservation Fund. Une fois remis dans la nature, les guépards sont ensuite suivis quotidiennement.Le JT

  • JT de 13h du lundi 12 août 2019 L’intégrale

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